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Human afrique est une association, loi 1901, créée en 2001, par 7 jeunes, désireux de monter un projet de solidarité. Nous sommes localisés dans l'Ouest Lyonnais, à St Genis les Ollières.

La finalité du projet consiste au financement puis la construction de salles de classe, dans la région du Sine Saloum au Sénégal, dans des petits villages ruraux, dépourvus de toute infrastructure scolaire.

Chaque été, un groupe de huit jeunes se rend trois semaines pour participer au chantier.

A ce jour 18 salles de classe ont été baties dans 8 villages différents. 

C'est aussi 50 jeunes qui ont pu vivre cette grande expérience!

 

 

Lien vers : page web human afrique, cliquez ici.

Lien vers : forum human afrique, cliquez

Agenda

 AGENDA des prochaines manifestations!! 

EN CONTINU : Sponsors & Pharmacies & Fournitures Scolaires

28 Juin : Challenge Kevin

29 Juin : Emission Radio "Vacances Solidaires"

4 Juillet : Assemblée Générale !! + barbecue

12-14 Juillet : Distribution Tracts

Juillet 2015 : Mission 2015 à Missirah

 

Fin Octobre : Pojection Film 2015

 

 

 

6 juin 2015 6 06 /06 /juin /2015 11:26
Mission 2015 - Revue de presse
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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 11:31

Pour info :

Annonce de la rhéabilitation de la route Passy - Sokone

Article sur Seneweb : cliquez ici

Travaux Passy - Sokone
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11 septembre 2014 4 11 /09 /septembre /2014 18:45
Article 2014
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6 mai 2011 5 06 /05 /mai /2011 16:47

bulletin human 2011

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 10:26
Sur Afrik.com
Près de 10 000 talibés font l’aumône dans la région de Dakar

Augmenter la police Diminuer la police Imprimer l'article Envoyer l'article à un ami Réagir à l'article

La capitale sénégalaise compte nombre de mendiants. Parmi eux, des enfants de moins de 12 ans : les talibés, originaires des zones rurales. Le Premier ministre sénégalais, Souleymane Ndéné Ndiaye, a déclaré la semaine dernière, suite à un conseil interministériel consacré à la lutte contre la traite des personnes, que « tout mendiant trouvé dans les rues aura affaire aux forces de l’ordre ». La menace sera-t-elle suivie d’effets ?

Le Sénégal veut éradiquer la mendicité. Un conseil interministériel a enregistré, le 24 août dernier, la participation de plusieurs ministres, de représentants d’ambassades accréditées à Dakar, de représentants d’ONG et de l’association des imams et oulémas du Sénégal. Le PM a néanmoins tenu à faire la distinction : « La mendicité est un délit, mais le fait pour un talibé ou toute autre personne d’aller à un lieu de culte et de recevoir l’aumône là-bas n’est pas assimilé à de la mendicité ». Il entend ainsi faire respecter la loi 06-2005 qui interdit la mendicité au Sénégal. Mais, s’agit-il d’un effet d’annonce ou d’une réelle volonté des autorités de lutter contre ce fléau, et en particulier contre la mendicité des jeunes enfants ?

En effet, près de 10 000 talibés [1] arpentent, sébiles à la main, les rues de la région de Dakar. Leur âge varie de 2 à 11 ans, exclusivement des garçons. Ces enfants généralement issus des régions rurales, ont été envoyés par leurs parents pour apprendre le Coran auprès de marabouts résidant en ville. Les conditions de vie difficiles en milieu rural pourraient expliquer cette solution de facilité adoptée par les parents, car le marabout est également censé prendre en charge gratuitement les talibés.

Enfants martyrs

En réalité, il s’agit d’une pratique pluriséculaire. Dans le passé, et bien avant la colonisation, tous les garçons en âge d’apprendre étaient envoyés auprès de marabouts pour apprendre le Coran et la sagesse. Les talibés faisaient tous les matins la tournée des villages pour recevoir la nourriture nécessaire à leur entretien. Mais aujourd’hui, avec l’urbanisation galopante, ces traditions ont été dévoyées. Les vrais marabouts se font rares, et ces enfants sont généralement contraints par de faux marabouts à faire la manche dans les rues, avec des brimades à la clef s’ils ne ramènent pas assez d’argent. Difficile de faire trois pas à Dakar sans en rencontrer un. Ces enfants sont sous-alimentés, victimes de violence, et cette situation est dénoncée depuis de nombreuses années par les ONG. C’est d’ailleurs sous la pression de ces dernières que le PM a pris cette décision. Selon lui « le Sénégal est sous la menace de ses partenaires qui estiment que le pays de la téranga ne lutte pas de façon efficace contre la traite des personnes ». Car, indique-t-il, « la mendicité organisée par des réseaux qui font mendier des jeunes et qui leur retournent l’argent utilisé à d’autres fins, est assimilée à une traite de personnes ».

Mais s’attaquer aux mendiants et non aux commanditaires, les faux marabouts, revient à lâcher la proie pour l’ombre. Par ailleurs, le problème de fond reste la paupérisation massive des zones rurales, conséquence de la désertification et de la désorganisation de la filière agricole. Cette précarité contraint ainsi de nombreuses familles à envoyer leurs enfants auprès de marabouts douteux pour réduire le nombre de bouches à nourrir. Il est donc manifeste que les autorités ne s’attaquent pas à la racine du problème. Trois jours après le discours du PM, la police a procédé à des rafles dans les principales artères du centre-ville de Dakar. L’avenir nous dira si ces mesures sont efficaces, mais il est permis d’en douter.

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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 08:36

ENTREE EN 6ÈME : Kalidou Diallo annonce la suppression du concours

Le ministre ayant en charge le Préscolaire, l'Élémentaire, le Moyen secondaire et les Langes nationales, est satisfait de l'organisation sur l'ensemble du territoire national du concours d'entrée 6ème et du Cfee. Il l'a révélé hier au terme d'une visite menée au niveau de centres d'examens de la ville de Dakar. En marge de la visite, M. Kalidou Diallo a annoncé son souhait de supprimer  l'entrée en 6ème et le Cfee.

 « Il faut noter que cet examen de barrage est en contradiction avec la loi fondamentale de notre pays qui donne l'obligation scolaire de 10 ans. C'est-à-dire que l'enfant doit obligatoirement être à l'école du CI à la classe de 3ème », a affirmé M. Diallo. En à croire le ministre de l'éducation, « le Cfee et l'entrée en 6ème constituent une épreuve, une expérience pour ces enfants parce qu'à partir de cet examen, ils entrent au niveau du collège. 

 

C'est pourquoi d'ailleurs, j'envisage en rapport avec les autorités, de supprimer l'entrée 6ème, le Cfee pour faire en sorte qu'à partir des compositions, des évaluations, que l'enfant puisse passer directement en sixième ». Et d'ajouter : « Cette décision sera une des autres révolutions de notre système éducatif. Nous allons l'étudier techniquement et pédagogiquement. 

 

Le Sénégal a atteint ce stade aujourd'hui de faire en sorte qu'un enfant soit dans le système du CI jusqu'à la classe de 3ème ».

En outre, il a tenu à préciser que c'est « une décision fondée sur des analyses pédagogiques pertinentes ».  Par ailleurs, signalons qu'au total, 48.981 candidats concourent dans 226 centres à travers la ville de Dakar, parmi lesquels 23.348 garçons sur 25.633 filles. 

 

Sur le plan national, il y a 206.651 candidats dont 102.009 garçons contre 104.642 filles repartis dans 1255 centres, soit une augmentation de 1213 candidats et 75 centres par rapport à l'année 2009. Dans les centres visités, à savoir Immaculée conception, Ibrahima Bèye, Mass Massaer Niane 2, Liberté 1 et Talibou Dabo, les responsables se disent satisfaits du bon déroulement de l'examen. Les épreuves ont débuté dans l'ensemble aux environs de 8 heures 20 minutes avec la rédaction et le calcul. 

 

En outre, des absences ont été notées dans quelques centres visités par le ministre. Faisant le bilan de sa tournée, le ministre Kalidou Diallo dira : « Nous venons donc de faire le tour de quelques centres à Dakar dans le cadre de l'organisation de l'entrée en 6ème et du Cfee. Parallèlement, j'ai eu un contact téléphonique avec l'ensemble des inspecteurs d'académie du Sénégal et des services centraux du ministère. 

 

La situation nationale est partout normale. Toutes les dispositions sont prises pour une bonne organisation de cet examen. Nous avons enregistré peu d'absence, les surveillants sont venus massivement et même en surnombre ».  

 

Adama COULIBALY

Article sur le matin de l'afrique

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 19:54

D'après la loi adoptée par l'Assemblée nationale du Sénégal, vendredi, les listes électorales pour toutes les institutions "partiellement ou totalement" électives devront être "alternativement composées des deux sexes" sous peine "d'irrecevabilité".

L'Assemblée nationale du Sénégal a adopté vendredi un projet de loi visant à instituer la parité absolue homme-femme dans toutes les institutions totalement ou partiellement électives, a-t-on appris de source parlementaire.

"Le projet de loi sur la parité homme-femme a été adopté par la majorité des députés dont seulement trois ont voté contre" le texte, a déclaré le député du pouvoir El Hadji Wack Ly.

Le nombre de députés présents et ayant voté pour le projet de loi n'a pas été communiqué.

Parité "absolue"

Ce projet de loi institue "la parité absolue entre les hommes et les femmes dans toutes les institutions partiellement ou totalement électives" comme l'Assemblée nationale, le Sénat, les conseils régionaux, municipaux.

Dans son article 2, il stipule que "les listes sont alternativement composées des deux sexes", rapporte vendredi l'Agence de presse sénégalaise (APS, publique).

"Les listes de candidatures doivent être conformes aux dispositions" de cette loi "sous peine d'irrecevabilité", selon la même source.

Avec ce projet de loi, "c'est l'instauration d'une compétition saine et objective, une justice sociale et la reconnaissance de l'importance de la position et de l'implication de tous pour relever les défis de construction et de développement de notre cher pays", a déclaré le ministre la Justice, El Hadji Amadou Sall, qui défendait le projet de loi.

"Si la parité choisit égalité et non égalitarisme, la loi n'a pas sa raison d'être", a déclaré de son côté le député du pouvoir El Hadji Wack Ly qui a dit avoir voté contre le projet de loi.

Ce texte doit être soumis au Sénat avant d'être promulgué par le chef de l'Etat, Abdoulaye Wade. Ce dernier avait nommé en 2001 la première femme Premier ministre au Sénégal, Mame Madior Boye, qui a occupé le poste jusqu'en 2004.

 

Article sur Jeune afrique.com

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 16:17

Mégaconcert pour la paix : Dakar a réussi la phase retour

Le mégaconcert retour du projet «Paix, Entente et Solidarité» s`est déroulé avec succès, le mercredi 12 mai au stade Léopold Senghor. Près de 60 000 spectateurs ont répondu à l`appel de l`Ambassade des Etats-Unis à Dakar, l`initiatrice du projet, en partenariat avec le ministère sénégalais de la Culture. De grands noms de la musique sénégalaise ont fait danser le public.

Au mois d`avril dernier, cinq artistes sénégalais avaient pris part, aux Etats-Unis, au concert aller du projet «Paix, Entente et Solidarité». Mercredi, c`était le retour avec Omar Pène, Youssou Ndour, Baba Maal, Titi, Daara J Family, Awadi, Duggee T, Carlou D, Abdou Guitté Seck, entre autres grosses pointures de la musique sénégalaise.

Le public dakarois a répondu massivement. 60 000 billets ont été distribués gratuitement deux semaines avant le concert, ouvert par une troupe de chants religieux musulmans venue de Kébémer. A cet instant, les gradins étaient clairsemés. La plupart des spectateurs s`étant massés en files indiennes devant les entrées de Léopold Senghor.

Petit à petit, la tension s`est emparée des lieux. Par groupes compacts, de nombreux spectateurs quittaient progressivement les tribunes pour s`installer sur la pelouse. Plus près de l`énorme scène installé, histoire de mieux communier avec les musiciens.

Le bal a débuté avec la séquence mbalax avec Abdou Guité Seck. Salsa, soul, coupé décalé, rap, presque tous les genres musicaux suivront. Tout le monde a chanté le thème du spectacle : «la stabilité sociale et de la compréhension mutuelle».

Le public était très exalté. Mais il ne s`est pas empêché de réclamer Salam Diallo, l`auteur de la chanson Goana et de la danse du même nom, très en vogue actuellement. Comme pour répondre à la demande du public, les batteurs de tam-tams reprenaient fréquemment le rythme de la chanson. Ne pouvant pas se retenir, filles et garçons s`en donnent à coeur joie.

Le concert s`est terminé comme il avait commencé. Sur de paisibles notes religieuses, cette fois chrétiennes, avec la prestation de la chorale Julien Jouga (du nom de son fondateur, décédé), accompagnée par les batteurs du tambour-major Doudou Ndiaye Rose.

 
Auteur:
Vincent Corréa 

Article sur Seneweb.com

 

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5 mai 2010 3 05 /05 /mai /2010 11:09
Dans le quotidien Le soleil: 
TRAVAIL DES ENFANTS : Plaidoyer pour un conseil présidentiel
 

 

La 7e session du comité intersectoriel national de lutte contre le travail des enfants s’est ouverte hier à Dakar. Les acteurs ont plaidé pour la tenue d’un conseil présidentiel pour la validation politique du document cadre.

Cette rencontre qui a vu la participation de parlementaires, d’organisations syndicales, patronales, de partenaires au développement, est une occasion de procéder à la validation politique du cadre national de lutte contre le travail des enfants. Il s’agit aussi de rassembler les différents acteurs intervenant dans ce domaine pour éviter la dispersion, mais aussi de d’évaluer les acquis. Pour le directeur adjoint du bureau sous régional de l’Organisation internationale du travail (Oit) Dramane Haïdara, l’espoir est permis mais il reste encore beaucoup à faire. « Si l’espoir est permis pour le retrait des enfants au travail, il reste encore beaucoup à faire. L’élimination du travail des enfants se pose aujourd’hui comme un problème de développement », a déclaré M. Haïdara non sans souligner les efforts entrepris par le gouvernement du Sénégal pour mettre un terme au phénomène. Ce dernier veut, toutefois, la tenue d’un conseil présidentiel pour la validation politique du document cadre. « Nous voulons une validation politique de tout ce processus. Nous estimons que la validation politique la plus manifeste ne peut se faire qu’à travers un conseil présidentiel. Nous savons l’engagement du gouvernement, au plus haut niveau, pour la lutte contre les pires formes de travail des enfants. C’est la raison pour laquelle nous estimons, lorsqu’un document de cette nature est élaboré, il faut une validation politique au sommet de l’Etat », a ajouté le directeur adjoint de l’Oit. Ce dernier a souligné qu’il est nécessaire d’avoir un plan cadre national pour lutter contre les pires formes de travail des enfants.

Diakaria Diaw, ministre d’Etat, ministre de la Fonction publique, de l’Emploi, du Travail et des Organisations professionnelles a rappelé les efforts du gouvernement. « Le président de la République, dès son accession à la magistrature suprême, s’est inquiété du travail des enfants et a pris les mesures qu’il faut. Un comité a été créé à cet effet et fait le recensement sur les pires formes de travail des enfants et le nombre d’enfants qui travaillent », a indiqué le ministre d’Etat. Concernant la tenue d’un conseil présidentiel, M. Diaw de noter que le chef de l’Etat est le plus grand défenseur des enfants en leur donnant la possibilité d’aller à l’école, en consacrant beaucoup de ressources à l’éducation, en essayant de modifier les structures traditionnelles des écoles coraniques. « Mais vous savez que les phénomènes de cette nature ne sont pas faciles à éradiquer. Il faut faire preuve de beaucoup d’insistance. C’est pourquoi, je pense que le conseil présidentiel serait une occasion pour valider politiquement toutes ces actions et nous travaillerons à ce qu’il se tienne », a souligné le ministre du Travail.

 

Aliou KANDE

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9 avril 2010 5 09 /04 /avril /2010 13:35

Alors là je vous invite, si vous avez un peu de temps (beaucoup en fait, ou juste jeter un oeil), par .

Une invitation au voyage, proposée par Arte TV, dans 12 pays d'Afrique qui ont pris leur indépendance en 1960. Voyage dans le temps, au présent, et aussi projection dans le futur. Un voyage, des visites, des rencontres, avec l'intervention d'historiens, sociologues, économistes, qui tentent de dresser le bilan d'un demi siècle d'indépendance, et tentent de nous expliquer et décortiquer les situations du Bénin, Cameroun, Tchad, Sénégal, Burkina Faso, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Mauritanie, Niger et Centrafrique.

Pour le Sénégal c'est ici.

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